Actrice, scénariste et réalisatrice franco-marocaine, Saphia Azzeddine est aussi romancière. En 2015, elle publie «Bilqiss», paru chez Stock. Au cinéma, le public a pu l'apercevoir dans «L'Italien» d'Olivier Barroux. Son film, «Mon père est femme de ménage», d'après son roman paru chez Léo Scheer en 2009, a reçu le prix du public Europe 1.
Actrice, scénariste et réalisatrice franco-marocaine, Saphia Azzeddine est aussi romancière. En 2015, elle publie «Bilqiss», paru chez Stock. Au cinéma, le public a pu l'apercevoir dans «L'Italien» d'Olivier Barroux. Son film, «Mon père est femme de ménage», d'après son roman paru chez Léo Scheer en 2009, a reçu le prix du public Europe 1.
Dans «Bilqiss», Saphia Azzeddine raconte le procès en lapidation d'une jeune femme qui a eu l'outrecuidance de pallier l'absence du muezzin à la prière du matin. Pour l'avoir remplacé et avoir appelé les fidèles à rendre grâce à Allah, Bilqiss doit faire face à ses juges. Mais elle a décidé de ne pas se laisser lapider sans rien dire. Le sujet du livre intéresse beaucoup Ariane, l'hôte du jour, une féministe engagée qui s'accomplit depuis de nombreuses années dans le milieu associatif. Par ailleurs, la «Figure imposée» porte sur «Le principe», de Jérôme Ferrari (Actes Sud). Avec ce roman qui fait entrer en résonance les tragédies du nazisme et une modernité rongée par les passions économiques, l'auteur confronte la noirceur des actes et la mystérieuse beauté du monde.