Le magazine de médiation et d'éducation aux médias aborde la question, toujours renouvelée, du côté anxiogène de l'information, quand elle occupe en continu l'espace d'antenne. Une question qui fait débat et qui est aussi en lien avec le report des programmes habituels et avec le ton utilisé pour rendre compte de ces événements tragiques.
Le magazine de médiation et d'éducation aux médias aborde la question, toujours renouvelée, du côté anxiogène de l'information, quand elle occupe en continu l'espace d'antenne. Une question qui fait débat et qui est aussi en lien avec le report des programmes habituels et avec le ton utilisé pour rendre compte de ces événements tragiques.
Le magazine de médiation et d'éducation aux médias aborde la question, toujours renouvelée, du côté anxiogène de l'information, quand elle occupe en continu l'espace d'antenne. Une question qui fait débat et qui est aussi en lien avec le report des programmes habituels et avec le ton utilisé pour rendre compte de ces événements tragiques. A-t-on réussi à tirer les leçons liées à la couverture d'événements du même type, comme les attentats de Charlie Hebdo et de Paris, ou encore le «lockdown» de Bruxelles ? Le ton était-il plus mesuré cette fois ? Des journalistes comme Medhi Khelfat, pour Matin Prem1ère en radio, Robin Cornet, pour les réseaux sociaux, Jean-Pierre Jacqmin, directeur de l'Info et des sports à la RTBF, sont présents en plateau, pour en débattre.