Dans «No Deal», paru en 2013, Melanie De Biasio invoque les fantômes du blues, du trip-hop et de la folk pour créer un genre inclassable à la texture veloutée et chaleureuse. Une déambulation nocturne aux accents mystiques, qui a donné lieu à un concert dans le cadre du Festival de jazz à Montréal. Avec sobriété, délicatesse et sensibilité, l'artiste belge déploie son timbre soyeux sur des compositions à la saveur unique. Des ballades oniriques et sensuelles, où une batterie, un piano, des synthétiseurs et parfois une flûte traversière - son instrument de prédilection - procurent un doux vertige.Chanteuse et flûtiste, Melanie De Biasio convoque la pop en suspension de Talk Talk, le blues érudit de Nina Simone, le lyrisme distingué de Jeff Buckley ou encore les spectres de Portishead ou de Pink Floyd.
Dans «No Deal», paru en 2013, Melanie De Biasio invoque les fantômes du blues, du trip-hop et de la folk pour créer un genre inclassable à la texture veloutée et chaleureuse. Une déambulation nocturne aux accents mystiques, qui a donné lieu à un concert dans le cadre du Festival de jazz à Montréal. Avec sobriété, délicatesse et sensibilité, l'artiste belge déploie son timbre soyeux sur des compositions à la saveur unique. Des ballades oniriques et sensuelles, où une batterie, un piano, des synthétiseurs et parfois une flûte traversière - son instrument de prédilection - procurent un doux vertige.Chanteuse et flûtiste, Melanie De Biasio convoque la pop en suspension de Talk Talk, le blues érudit de Nina Simone, le lyrisme distingué de Jeff Buckley ou encore les spectres de Portishead ou de Pink Floyd.