Des brebis, des vaches, des veaux abattus dans les champs : depuis un an, des dizaines d'éleveurs ont la mauvaise surprise de retrouver leur bétail dépecé à même le pré. Des Vosges à l'Auvergne, en passant par le Vaucluse ou le Vercors, des centaines de gendarmes, policiers et gardes forestiers tentent d'endiguer ce phénomène. Liée à la crise économique, une délinquance des champs est en train d'apparaître. C'est aussi le grand retour du braconnage. Si certains agissent pour nourrir leurs familles, d'autres chassent sur commande. Pour arrondir leurs fins de mois, ils fournissent restaurateurs ou particuliers en viande de cerf ou de sanglier. Lunettes de vision nocturne, opérations commandos en rase campagne, les forces de l'ordre sont aussi aux aguets. Mais il est difficile de contrôler des milliers d'hectares de champs et de sous-bois.
Des brebis, des vaches, des veaux abattus dans les champs : depuis un an, des dizaines d'éleveurs ont la mauvaise surprise de retrouver leur bétail dépecé à même le pré. Des Vosges à l'Auvergne, en passant par le Vaucluse ou le Vercors, des centaines de gendarmes, policiers et gardes forestiers tentent d'endiguer ce phénomène. Liée à la crise économique, une délinquance des champs est en train d'apparaître. C'est aussi le grand retour du braconnage. Si certains agissent pour nourrir leurs familles, d'autres chassent sur commande. Pour arrondir leurs fins de mois, ils fournissent restaurateurs ou particuliers en viande de cerf ou de sanglier. Lunettes de vision nocturne, opérations commandos en rase campagne, les forces de l'ordre sont aussi aux aguets. Mais il est difficile de contrôler des milliers d'hectares de champs et de sous-bois.