«L'énergie circule telle l'eau, alors que l'âme brille comme la Lune», dit un proverbe taoïste. Le chorégraphe Lin Hwai-Min crée une étude du réel vers l'irréel, de l'effort vers le repos, du yin vers le yang. La scène est recouverte de marbre noir, les costumes des danseurs sont en soie blanche, le tout sur les «Suites pour violoncelle» de Jean-Sébastien Bach.
«L'énergie circule telle l'eau, alors que l'âme brille comme la Lune», dit un proverbe taoïste. Le chorégraphe Lin Hwai-Min crée une étude du réel vers l'irréel, de l'effort vers le repos, du yin vers le yang. La scène est recouverte de marbre noir, les costumes des danseurs sont en soie blanche, le tout sur les «Suites pour violoncelle» de Jean-Sébastien Bach.