Le 1er janvier 2022, la France prendra la présidence du Conseil de l'UE. La présidence française permettra-t-elle mobiliser les vingt-sept, faire avancer les dossiers, relancer le moteur de l'UE ? Ou s'agira-t-il plutôt d'une présidence "pompier", qui gère les affaires courantes et se contente de limiter les dégâts ?
Le 1er janvier 2022, la France prendra la présidence du Conseil de l'UE. La présidence française permettra-t-elle mobiliser les vingt-sept, faire avancer les dossiers, relancer le moteur de l'UE ? Ou s'agira-t-il plutôt d'une présidence "pompier", qui gère les affaires courantes et se contente de limiter les dégâts ?