La mort change peu à peu de statut, tend à disparaître de l'expérience existentielle, à s'effacer. Elle ne correspond plus aux nouveaux paradigmes du bonheur, du bien-être et de la jeunesse éternelle. Ces nouvelles approches de la mort se donnent à voir à travers la parole d'auteurs comme Marie de Hennezel, la visite de lieux nouveaux de cafés mortels et de lieux de discussions et de confidences...
La mort change, elle évolue en même temps que notre manière d'être au monde. Certains personnes, dans les mouvements transhumanistes notamment, considèrent le vieillissement ou la mort comme inutiles et indésirables. Et l'on travaille aujourd'hui technologiquement et médicalement à la mort de la mort. La mort change peu à peu de statut, tend à disparaître de l'expérience existentielle, à s'effacer. Elle ne correspond plus aux nouveaux paradigmes du bonheur, du bien-être et de la jeunesse éternelle. Ces nouvelles approches de la mort se donnent à voir à travers la parole d'auteurs comme Marie de Hennezel, la visite de lieux nouveaux de cafés mortels et de lieux de discussions et de confidences.