Un hommage au guitariste et producteur, qui enflamme les dancefloors depuis trois générations, de Chic à Daft Punk en passant par Bowie et Madonna.
De Diana Ross («Upside Down») à Daft Punk («Get Lucky») en passant par David Bowie («Let's Dance»), Madonna («Like a Virgin»), Sheila («Spacer»), Duran Duran («Notorious») ou Inxs («Original Sin»), le guitariste et producteur Nile Rodgers arrange ou compose depuis 35 ans des tubes planétaires partagés par toutes les générations. Mais c'est d'abord sous son propre nom, au sein du groupe Chic, fondé avec son complice Bernard Edwards, qu'il se hisse d'emblée tout en haut de l'affiche, alors résolument disco, avec les hits «Dance, dance, dance» (1977), «Le Freak» (sept millions de singles vendus en 1978) ou encore «Good Times» (1979). Trente-cinq plus tard, Nile Rodgers, 60 ans et en plein boom, se produit toujours lors de tournées triomphales avec Chic, reformé en 1992.