Les travaux de l'économiste Philippe de Woot sur l'innovation industrielle et les stratégies des entreprises se sont imposés, en Europe, comme autant de références. Mais ses investigations dépassent le champ de l'économie : elles conduisent à une réflexion morale sur le progrès et à une éthique sociale tenant compte des conséquences de la stratégie des entreprises pour la société tout entière.
Les travaux de l'économiste Philippe de Woot sur l'innovation industrielle et les stratégies des entreprises se sont imposés, en Europe, comme autant de références. Mais ses investigations dépassent le champ de l'économie : elles conduisent à une réflexion morale sur le progrès et à une éthique sociale tenant compte des conséquences de la stratégie des entreprises pour la société tout entière.
Les travaux de l'économiste Philippe de Woot sur l'innovation industrielle et les stratégies des entreprises se sont imposés, en Europe, comme autant de références. Mais ses investigations dépassent le champ de l'économie : elles conduisent à une réflexion morale sur le progrès et à une éthique sociale tenant compte des conséquences de la stratégie des entreprises pour la société tout entière. Plusieurs ouvrages développent cette quête constante, parmi lesquels «Pour la doctrine de l'entreprise» (Seuil, 1968) et, plus récemment, «Responsabilité sociale de l'entreprise : faut-il enchaîner Prométhée ?» (Economica, 2004). Depuis 1994, Philippe de Woot est membre du «Groupe de Lisbonne», qui réunit des intellectuels du monde entier dénonçant les effets pervers de la mondialisation aveugle.