Le mardi 11 octobre 2005, Eric Boisseranc rentre chez lui, à Chazay d'Azergues, et découvre le corps de Marine, sa fille de 20 ans, poignardée à plusieurs reprises. La gendarmerie en charge du dossier a envisagé de très nombreuses pistes, mais aucune n'a pour le moment porté ses fruits.
Le mardi 11 octobre 2005, Eric Boisseranc rentre chez lui, à Chazay d'Azergues, et découvre le corps de Marine, sa fille de 20 ans, poignardée à plusieurs reprises. La gendarmerie en charge du dossier a envisagé de très nombreuses pistes, mais aucune n'a pour le moment porté ses fruits.
Le mardi 11 octobre 2005, Eric Boisseranc rentre chez lui, à Chazay d'Azergues, et découvre le corps de Marine, sa fille de 20 ans, poignardée à plusieurs reprises. La police ne trouve pas de trace d'effraction, pas de signes de vol, pas d'indices d'agression sexuelle. Elle ne relève ni ADN ni empreintes digitales, tout juste une trace de pas ensanglantée sur le sol. Marine Boisseranc était une jeune femme sans histoire. Etudiante en deuxième année de BTS comptabilité à Villefranche-sur-Saône, elle avait beaucoup d'amis. Personne autour d'elle n'a compris ce qui a pu se passer et qui aurait pu lui en vouloir. Depuis quatre ans, la gendarmerie en charge du dossier a envisagé de très nombreuses pistes. Tueur opportuniste, vagabond, proche de la victime, ancien petit ami, ami, tueur en série : aucune n'a pour le moment porté ses fruits.