Le 13 mai, vers 23h35, le neurologue Patrice Baud quitte son cabinet médical de Nemours quand il est atteint d'une décharge de fusil de chasse. Le tueur s'approche et l'achève d'un second tir dans l'abdomen. Le docteur Baud s'écroule sur le trottoir. De nombreux habitants de la rue sont témoins du crime et sont capables de décrire le tueur.
Le 13 mai, vers 23h35, le neurologue Patrice Baud quitte son cabinet médical de Nemours quand il est atteint d'une décharge de fusil de chasse. Le tueur s'approche et l'achève d'un second tir dans l'abdomen. Le docteur Baud s'écroule sur le trottoir. De nombreux habitants de la rue sont témoins du crime et sont capables de décrire le tueur.
Le 13 mai, vers 23h35, le neurologue Patrice Baud quitte son cabinet médical de Nemours quand il est atteint d'une décharge de fusil de chasse. Le tueur s'approche et l'achève d'un second tir dans l'abdomen. Le docteur Baud s'écroule sur le trottoir. De nombreux habitants de la rue sont témoins du crime et sont capables de décrire le tueur. L'un d'entre eux recueille les dernières paroles de la victime : «veste marron... je l'ai déjà vu... je l'ai déjà vu». Comment expliquer ce meurtre de sang froid ? Faut-il chercher dans la vie privée du praticien, père de cinq enfants ? Peut-il s'agir d'une rivalité professionnelle ou bien faut-il s'intéresser à ses patients ? Retour sur cette affaire, qui a donné du fil à retordre à la police.