En octobre 1991, le corps de Marie-Claire Bego, 38 ans, est retrouvé sur une berge de la Loire. La femme a été violée, étranglée puis brûlée. Quelques jours plus tard, un ami de sa soeur avoue le meurtre mais il se rétracte ensuite. Pendant près de dix ans, l'enquête piétine et un non-lieu est prononcé en 2000. Mais l'affaire est soudain relancée en 2010.
En octobre 1991, le corps de Marie-Claire Bego, 38 ans, est retrouvé sur une berge de la Loire. La femme a été violée, étranglée puis brûlée. Quelques jours plus tard, un ami de sa soeur avoue le meurtre, mais il se rétracte ensuite et rien ne permet de le confondre formellement. Pendant près de dix ans, l'enquête piétine et un non-lieu est prononcé en 2000. Mais l'affaire est soudain relancée en 2010 quand un homme, détenu pour un autre crime étonnamment semblable à celui-ci, avoue à son co-détenu "avoir déjà tué une femme dans la région et avoir été relâché faute de preuves". Malheureusement, rien ne permet de l'incriminer et un nouveau non-lieu est prononcé.