Suite au moratoire sur la pêche, Saint-Pierre-et-Miquelon a tenté de refaire surface en se diversifiant mais le réchauffement climatique fait fuir les espèces.
Vingt-cinq ans après le moratoire canadien sur la pêche, Saint-Pierre-et-Miquelon a tenté de refaire surface en se diversifiant. L'île a développé le fret, le tourisme et exploité de nouvelles espèces. Mais le réchauffement climatique a fait fuir de nombreuses espèces. Inquiets, les pêcheurs saint-pierrais tirent la sonnette d'alarme, mais craignent qu'il ne soit trop tard.