En juillet 2024, les Tokyoïtes se rendaient aux urnes et l'enjeu numéro un de la campagne électorale portait sur la dénatalité qui frappe la capitale et au-delà l'archipel tout entier. Une démographie en berne et une question : qui va payer les retraites dans un pays où l'on vit de plus en plus vieux et qui compte de moins en moins de jeunes ? Pour pallier le manque de main d'œuvre, le pays s'ouvre timidement à l'immigration. Il mise aussi sur la robotisation et sur l'intelligence artificielle.
En juillet 2024, les Tokyoïtes se rendaient aux urnes et l'enjeu numéro un de la campagne électorale portait sur la dénatalité qui frappe la capitale et au-delà l'archipel tout entier. Une démographie en berne et une question : qui va payer les retraites dans un pays où l'on vit de plus en plus vieux et qui compte de moins en moins de jeunes ? Pour pallier le manque de main d'œuvre, le pays s'ouvre timidement à l'immigration. Il mise aussi sur la robotisation et sur l'intelligence artificielle.