L'écrivain parle de ses lectures de jeunesse et brosse un portrait tout en finesse de son ami Alexis Léger.
Au cours de ce deuxième entretien, Paul Morand évoque ses lectures de jeunesse. Il parle de sa passion pour Jean Giraudoux, qui sut remplacer les maîtres d'école que Morand négligeait. Il brosse un portrait de l'écrivain et diplomate Alexis Léger, qui devint son ami. En 1912, Paul Morand est envoyé à Londres où il demeure jusqu'après la guerre.