Quand on pense à la mollesse, on pense impuissance, fatigue ou "grosse flemme". On imagine des adolescents vautrés devant la télévision, ou des boules de mozzarella coulante. Mais c'est aussi le moelleux d'une chaude brioche, le confort d'un lit, le plaisir de la détente. Tant dévoyée, la mollesse est-elle forcément synonyme d'inachèvement ?
Quand on pense à la mollesse, on pense impuissance, fatigue ou "grosse flemme". On imagine des adolescents vautrés devant la télévision, ou des boules de mozzarella coulante. Mais c'est aussi le moelleux d'une chaude brioche, le confort d'un lit, le plaisir de la détente. Tant dévoyée, la mollesse est-elle forcément synonyme d'inachèvement ?