De quelle partie de soi-même se sépare-t-on quand l'autre nous quitte ? Pourquoi la solitude est-elle vécue comme un abandon ? Si effacer l'autre semble aujourd'hui s'imposer comme une nouvelle pratique, de quoi celle-ci est-elle le signe ? Procède-t-elle de la valorisation de la flexibilité prônée par une société où les êtres se désengagent de plus en plus les uns des autres ?