Au printemps dernier, pour fêter ses 35 ans de bons et joyeux services, le plus populaire et le plus prolifique des humoristes belges repartait sur les routes avec un tout nouveau spectacle et remettait les mains dans le cambouis des absurdités d'un monde qui tourne décidément de moins en moins rond. Inlassable observateur d'une époque abîmée par les politiques étriquées, les peurs déraisonnables, les tentations nostalgiques, les lâchetés partisanes et les cynismes décomplexés, Pirette arrive malgré tout toujours à nous amuser, parfois même à nous émouvoir, et, par les temps qui courent, le rire qu'il nous propose, à la fois généreux et sans concession, deviendrait presque un produit de première nécessité. En quand François Pirette fait son «comic'out», celui que l'on croyait si bien connaître risquerait de nous surprendre encore.
Au printemps dernier, pour fêter ses 35 ans de bons et joyeux services, le plus populaire et le plus prolifique des humoristes belges repartait sur les routes avec un tout nouveau spectacle et remettait les mains dans le cambouis des absurdités d'un monde qui tourne décidément de moins en moins rond. Inlassable observateur d'une époque abîmée par les politiques étriquées, les peurs déraisonnables, les tentations nostalgiques, les lâchetés partisanes et les cynismes décomplexés, Pirette arrive malgré tout toujours à nous amuser, parfois même à nous émouvoir, et, par les temps qui courent, le rire qu'il nous propose, à la fois généreux et sans concession, deviendrait presque un produit de première nécessité. En quand François Pirette fait son «comic'out», celui que l'on croyait si bien connaître risquerait de nous surprendre encore.