Un collectif de quarante journalistes a enquêté simultanément en Inde, au Guatemala et en Tanzanie sur des scandales environnementaux liés au secteur minier.
Quarante journalistes internationaux, issus d'une trentaine de médias, décident de collaborer pour reprendre les investigations laissées inachevées par leurs confrères assassinés, menacés et emprisonnés car ils enquêtaient sur des scandales environnementaux liés au secteur minier. Ils se rassemblent à Paris pour une réunion confidentielle marquant le début du Projet Green Blood.