Marie a-t-elle assassiné un cheminot ? Tous les indices rassemblés par une enquêtrice de l'IGPN tendent à le prouver. Comment faire pour se disculper ?
Un cheminot a été tué dans les sous-sols de la gare du Nord avec l'arme de service de la commissaire Marie Saint-Georges. Michelle Harris, l'enquêtrice dépêchée par l'IGPN, la police des polices, rassemble des preuves qui accablent Marie, bientôt mise à pied. Celle-ci se rend bien vite compte que si elle n'apporte pas elle-même la preuve de son innocence, elle ne retrouvera pas son emploi. Le soir, alors qu'elle fait son footing aux abords de la Cambuse, une inconnue assemble une arme pièce par pièce, vise la jeune femme et fait feu. Par bonheur, le chargeur est vide. Les yeux pleins de haine, la femme qui tient le pistolet murmure : «Un jour, tu verras, j'aurai le courage». Le lendemain, Max annonce à Marie qu'un truand de grande envergure, doublé d'un redoutable meurtrier, Kali, est présent dans le TGV en provenance d'Amsterdam...