Il y a les «sans gluten», qui bannissent cette protéine céréalière de leur alimentation, les «sans lactose», qui pensent que le sucre du lait est mauvais pour leur santé, les «sans viande», végétariens ouo végétaliens, les «sans sucre», les «détox», les «paléos» ou les «jeûneurs». Ces régimes sont-ils efficaces ? Font-ils l'objet d'un business lucratif ? Enquête.
Il y a les «sans gluten», qui bannissent cette protéine céréalière de leur alimentation, les «sans lactose», qui pensent que le sucre du lait est mauvais pour leur santé, les «sans viande», végétariens ouo végétaliens, les «sans sucre», les «détox», les «paléos» ou les «jeûneurs». Ces régimes sont-ils efficaces ? Font-ils l'objet d'un business lucratif ? Enquête.
Il y a les «sans gluten», qui bannissent cette protéine céréalière de leur alimentation, les «sans lactose», qui pensent que le sucre du lait est mauvais pour leur santé, les «sans viande», végétariens ouo végétaliens, les «sans sucre», les «détox», les «paléos» ou les «jeûneurs». Pour des raisons médicales ou par effet de mode, de plus en plus de consommateurs choisissent d’exclure certains aliments de leurs assiettes, persuadés des bienfaits du régime qu'ils ont choisi. Mais des médecins tirent la sonnette d'alarme. D'autant que ces nouvelles modes alimentaires aiguisent l'appétit des industriels, nourrissant un business très lucratif. Les rayons des supermarchés regorgent désormais de produits «sans» et de nombreux restaurants proposent des menus adaptés. Enquête et tentatives de réponses.