Un journaliste musulman a réussi à infiltrer, pendant six mois, un petit réseau français se réclamant de Daech et a tourné le documentaire «Soldats d'Allah» en caméra cachée. Ce réseau est composé d'une dizaine de membres. Un personnage se détache parmi eux : Ossama, 20 ans. Il a tenté d'intégrer l'armée française, est passé par le satanisme, l'alcoolisme, avant de découvrir l'islamisme radical.
Un journaliste musulman a réussi à infiltrer, pendant six mois, un petit réseau français se réclamant de Daech et a tourné le documentaire «Soldats d'Allah» en caméra cachée. Ce réseau est composé d'une dizaine de membres. Un personnage se détache parmi eux : Ossama, 20 ans. Il a tenté d'intégrer l'armée française, est passé par le satanisme, l'alcoolisme, avant de découvrir l'islamisme radical.
Un journaliste musulman a réussi à infiltrer, pendant six mois, un petit réseau français se réclamant de Daech et a tourné le documentaire «Soldats d'Allah» en caméra cachée. Ce petit réseau est composé d'une dizaine de membres. Un personnage se détache parmi eux : Ossama, 20 ans. Il a tenté d'intégrer l'armée française, qui n'a pas voulu de lui, est passé par le satanisme, l'alcoolisme, avant de découvrir l'islamisme radical sur Internet. Il a déjà tenté de partir en Syrie et a fait de la prison. A sa sortie, il a mis en place une petite cellule, baptisée «Soldats d'Allah», dont il a été nommé émir. Aller au paradis est sa volonté principale. Il décrit ce qui l'attend s'il meurt après avoir tuer un maximum de «kouffars» : des femmes, un palais.