L'étude de Dunedin a analysé le patrimoine génétique de sujets violents, montrant que 85% des criminels violents possèdent un gène défectueux MAOA et ont été des enfants maltraités.
L'étude de Dunedin a analysé le patrimoine génétique de sujets violents, montrant que 85% des criminels violents possèdent un gène défectueux MAOA et ont été des enfants maltraités.