Ce film commence dans un cadre magnifique et glacial, à 80 kilomètres au Nord de Berlin, dans le village déserté de Ravensbrück. C'est un véritable paysage de désolation. Autour d'un lac s'étend une zone marécageuse de dunes et de sables gorgés d'eau. Un vent glacé souffle sans trêve. Le climat est si rigoureux qu'on surnomme cette région la "petite Sibérie mecklembourgeoise". C'est ici, à Ravensbrück, que le plus grand camp de concentration réservé aux femmes se trouvait pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ici qu'ont été déportés 130 000 femmes et enfants. C'est ici que sont morts 90 000 personnes. C'est ici qu'ont afflué pendant 6 ans 36% de déportées Polonaises, 21% de Soviétiques, 18% d'Allemandes et Autrichiennes, 8% de Françaises, 7,5% de Hongroises et 9,5% d'autres pays européens occupés par les nazis.
Ce film commence dans un cadre magnifique et glacial, à 80 kilomètres au Nord de Berlin, dans le village déserté de Ravensbrück. C'est un véritable paysage de désolation. Autour d'un lac s'étend une zone marécageuse de dunes et de sables gorgés d'eau. Un vent glacé souffle sans trêve. Le climat est si rigoureux qu'on surnomme cette région la "petite Sibérie mecklembourgeoise". C'est ici, à Ravensbrück, que le plus grand camp de concentration réservé aux femmes se trouvait pendant la Seconde Guerre mondiale. C'est ici qu'ont été déportés 130 000 femmes et enfants. C'est ici que sont morts 90 000 personnes. C'est ici qu'ont afflué pendant 6 ans 36% de déportées Polonaises, 21% de Soviétiques, 18% d'Allemandes et Autrichiennes, 8% de Françaises, 7,5% de Hongroises et 9,5% d'autres pays européens occupés par les nazis.