Des carnets de recettes de cuisine ont été rédigés clandestinement sur des supports parfois improbables, par des détenus dans les camps nazis, au goulag et dans les camps japonais. Qu'est-ce qui poussait ces hommes et ces femmes à une activité aussi absurde ? Que disent ces carnets de la nature humaine ? Sans doute le besoin impérieux d'être ensemble, de partager, de se projeter dans l'avenir.
Des carnets de recettes de cuisine ont été rédigés clandestinement sur des supports parfois improbables, par des détenus dans les camps nazis, au goulag et dans les camps japonais. Qu'est-ce qui poussait ces hommes et ces femmes à une activité aussi absurde ? Que disent ces carnets de la nature humaine ? Sans doute le besoin impérieux d'être ensemble, de partager, de se projeter dans l'avenir.
Des carnets de recettes de cuisine ont été rédigés clandestinement sur des supports parfois improbables, par des détenus dans les camps nazis, au goulag et dans les camps japonais. Qu'est-ce qui poussait ces hommes et ces femmes à une activité aussi absurde ? Une règle d'or voulait que personne n'évoque sa famille ni ses proches dans les camps, sous peine de s'effondrer psychiquement. Que disent ces carnets de la nature humaine ? Sans doute le besoin impérieux d'être ensemble, de partager, de se projeter dans l'avenir. Des survivants et des proches témoignent. Des historiens, des psychanalystes, des neurologues et un cuisinier analysent ces écrits produits au coeur du monde concentrationnaire et réfléchissent au sens de ces «festins imaginaires».