Eté 1936. Les Jeux olympiques de Berlin offrent au monde l'image d'une Allemagne sportive, pacifique, régénérée. Pendant quinze jours, les Jeux semblent avoir arrêté le temps. La violence et la peur qui régnaient jusqu'alors dans les rues de la ville sont cachées. Athlètes, journalistes et spectateurs se pressent dans la capitale du Reich, transformée en vitrine du national-socialisme.
Eté 1936. Les Jeux olympiques de Berlin offrent au monde l'image d'une Allemagne sportive, pacifique, régénérée. Pendant quinze jours, les Jeux semblent avoir arrêté le temps. La violence et la peur qui régnaient jusqu'alors dans les rues de la ville sont cachées. Athlètes, journalistes et spectateurs se pressent dans la capitale du Reich, transformée en vitrine du national-socialisme.
Eté 1936. Les Jeux olympiques de Berlin offrent au monde l'image d'une Allemagne sportive, pacifique, régénérée. Pendant quinze jours, les Jeux semblent avoir arrêté le temps. La violence et la peur qui régnaient jusqu'alors dans les rues de la ville sont cachées. Venus des quatre coins du monde, athlètes, journalistes et spectateurs se pressent dans la capitale du Reich, transformée en vitrine du national-socialisme. Quand Adolf Hitler accède au pouvoir le 30 janvier 1933, il est d'abord hostile à cette compétition attribuée à la ville de Berlin deux ans plus tôt et dont il a hérité. Mais conseillé par Goebbels, son jeune ministre de la propagande, le nouveau Chancelier du reich comprend vite tout l'intérêt qu'il peut en tirer.