De Mai 68, l'Histoire retient ces étudiants, massés à la Sorbonne ou à l'Odéon, mais aussi ces millions de salariés, défilant dans les villes d'une France paralysée par la grève générale. Pourtant, Mai 68, ce sont aussi ces forces de l'ordre, souvent désemparées, et ces journalistes, que le gouvernement tentera de museler, et dont le regard évoluera au fil des événements.
De Mai 68, l'Histoire retient ces étudiants, massés à la Sorbonne ou à l'Odéon, mais aussi ces millions de salariés, défilant dans les villes d'une France paralysée par la grève générale. Pourtant, Mai 68, ce sont aussi ces forces de l'ordre, souvent désemparées, et ces journalistes, que le gouvernement tentera de museler, et dont le regard évoluera au fil des événements.
De Mai 68, l'Histoire retient ces étudiants, massés à la Sorbonne ou à l'Odéon, mais aussi ces millions de salariés, défilant dans les villes d'une France paralysée par la grève générale. Pourtant, Mai 68, ce sont aussi ces forces de l'ordre, souvent désemparées, et ces journalistes, que le gouvernement tentera de museler, et dont le regard évoluera au fil des événements. Ols étaient les défenseurs ou les témoins d'un Etat en train de chanceler. Comment les forces de l'ordre ont-elles vécu cette révolte étudiante et la grève générale ? La riposte policière, tant pointée du doigt, était-elle vraiment démesurée ? Quels souvenirs les photojournalistes, positionnés au milieu des affrontements, conservent-ils ?