Le 1er janvier 2016, près de 71 ans après la mort d'Adolf Hitler, «Mein Kampf» tombe dans le domaine public. Rédigé en prison à la suite du putsch manqué de 1923, le texte fondateur du nazisme, à la fois autobiographie, manifeste et programme politique, expose sur plus de 700 pages l'esprit de revanche, la haine obsessionnelle des juifs et la volonté d'expansion de son auteur.
Le 1er janvier 2016, près de 71 ans après la mort d'Adolf Hitler, «Mein Kampf» tombe dans le domaine public. Rédigé en prison à la suite du putsch manqué de 1923, le texte fondateur du nazisme, à la fois autobiographie, manifeste et programme politique, expose sur plus de 700 pages l'esprit de revanche, la haine obsessionnelle des juifs et la volonté d'expansion de son auteur.
Le 1er janvier 2016, près de 71 ans après la mort d'Adolf Hitler, «Mein Kampf» tombe dans le domaine public. Rédigé en prison à la suite du putsch manqué de 1923, le texte fondateur du nazisme, à la fois autobiographie, manifeste et programme politique, expose sur plus de 700 pages l'esprit de revanche, la haine obsessionnelle des juifs et la volonté d'expansion de son auteur. Depuis 1946, le ministère des Finances de Bavière, qui en détenait les droits d'auteur, avait empêché la publication du pamphlet. Dans une Europe où s'exacerbent les crispations identitaires et la xénophobie, le dilemme est réel : «Mein Kampf» demeure-t-il dangereux ? Depuis 2012, une équipe d'historiens allemands planche sur cette réédition hautement sensible. Ce documentaire explore l'histoire de la diffusion de l'ouvrage, en Allemagne comme en France.