A l'ombre des miradors et des barbelés, 600 prisonniers imaginent dès 1943 la plus grande évasion de prisonniers de la Seconde guerre mondiale, dans l'un des camps les plus sécurisés du IIIe Reich, celui qu'Hermann Göring qualifiait de «camp dont on ne s'échappe pas». Sous l'autorité du chef d'escadron Roger Bushell, trois tunnels sont creusés avec un équipement rudimentaire.
A l'ombre des miradors et des barbelés, 600 prisonniers imaginent dès 1943 la plus grande évasion de prisonniers de la Seconde guerre mondiale, dans l'un des camps les plus sécurisés du IIIe Reich, celui qu'Hermann Göring qualifiait de «camp dont on ne s'échappe pas». Sous l'autorité du chef d'escadron Roger Bushell, trois tunnels sont creusés avec un équipement rudimentaire.
A l'ombre des miradors et des barbelés, 600 prisonniers imaginent dès 1943 la plus grande évasion de prisonniers de la Seconde guerre mondiale, dans l'un des camps les plus sécurisés du IIIe Reich, celui qu'Hermann Göring qualifiait de «camp dont on ne s'échappe pas». Sous l'autorité du chef d'escadron Roger Bushell, les trois tunnels «Tom», «Dick» et «Harry» sont creusés avec un équipement rudimentaire, équipés d'un système d'éclairage, de ventilation et de rails. Plus de 200 tonnes de sable sont déplacés, des faux documents et des vêtements créés de toute pièce dans les ateliers clandestins. Cette aventure humaine et technique sans précédent au coeur du conflit le plus meurtrier du XXe siècle se soldera pourtant par une fin tragique : sur 76 évadés, seuls trois prisonniers parviendront à rejoindre l'Angleterre.