Le policier électronique de Detroit déclare la guerre à un puissant trust japonais, qui n'hésite pas à raser des quartiers entiers de la ville.
L'OCP, une multinationale dont des patrons cupides tirent les ficelles, n'hésite pas à raser, par quartiers entiers, la ville de Detroit, au mépris absolu des droits de ses habitants, totalement démunis. Pour parachever son œuvre, l'OCP s'adjoint les services de RoboCop, le policier cyborg. Le docteur Lazarus, qui fignole les circuits du cyborg, refuse de lui enlever toute trace de sentiments humains. Le peu d'âme qui lui reste suffit à RoboCop pour deviner qu'il est placé au service de l'injustice et de la violence aveugle. Aussi change-t-il de camp et se range-t-il aux côtés de ceux qui ont décidé de résister aux prétentions des hommes d'affaires sans scrupule.
Peter Weller forfait, c'est Robert Burke qui reprend le flambeau pour une variation sans grand intérêt, sinon pour l'utilisation des images de synthèse.