Faute de loi en France sur l'aide active à mourir, ils vont en Suisse ou en Belgique pour programmer leur mort, comme des centaines de Français chaque année.
Ils se savent condamnés et refusent de vivre leur maladie jusqu'au bout. Au nom du droit à choisir leur mort, au nom de leur liberté à disposer de leur corps, au nom de leur refus de souffrir, ils réclament l'euthanasie ou le suicide assisté. Faute de loi en France sur l'aide active à mourir, ils vont en Suisse ou en Belgique pour programmer leur mort, comme des centaines de Français chaque année.