A Rio de Janeiro, les habitants accorde la même charge attractive à ce qui est caché qu'à ce qui est montré ; pourtant, eux-même s'exhibent à la moindre occasion.
Le tour du monde des «transports» collectifs se poursuit à Rio de Janeiro, au Brésil, dont les habitudes sexuelles révèlent bien des surprises. Dans cette mégalopole grouillante, on peut se balader quasiment nu à la moindre occasion sans subir les foudres de la maréchaussée. Mais les codes de l'érotisme local veulent aussi qu'on accorde la même charge libidinale à ce qui est caché qu'à ce qui est exhibé.