A mi-chemin entre la peinture et la danse, ce ballet est le fruit de deux processus créatifs, successifs et complémentaires : l'artiste Olivier Debré imagina d'abord les décors et la scénographie qui inspirèrent ensuite Carolyn Carlson pour ses chorégraphies. Le résultat n'est que beauté et élégance : une succession de sept tableaux abstraits et poétiques, emportés par une musique fluide et transparente. Progressivement, les danseurs s'effacent derrière le mouvement des corps. Ils semblent aussi légers et sensuels qu'une calligraphie. Dans cette mosaïque de couleurs où l'onirisme est roi, les tableaux vivants s'animent dans un élan magique de virtuosité et de perfection.
A mi-chemin entre la peinture et la danse, ce ballet est le fruit de deux processus créatifs, successifs et complémentaires : l'artiste Olivier Debré imagina d'abord les décors et la scénographie qui inspirèrent ensuite Carolyn Carlson pour ses chorégraphies. Le résultat n'est que beauté et élégance : une succession de sept tableaux abstraits et poétiques, emportés par une musique fluide et transparente. Progressivement, les danseurs s'effacent derrière le mouvement des corps. Ils semblent aussi légers et sensuels qu'une calligraphie. Dans cette mosaïque de couleurs où l'onirisme est roi, les tableaux vivants s'animent dans un élan magique de virtuosité et de perfection.