Un homme de ménage craint d'être accusé d'un meurtre, commis dans le local où il range son matériel : il demande à soeur Thérèse de l'aider.
Un homme affolé frappe à la porte du couvent avec sa fillette dans les bras. La mère supérieure reconnaît tout de suite monsieur Cheng, qu'elle a côtoyé autrefois quand elle était missionnaire en Chine. Elle l'accueille à bras ouverts, lui et son adorable fille, Sue-Li, âgée de 9 ans. Pour la religieuse, le droit d'asile est sacré. Cheng est désemparé. Un homme a été tué dans un bureau où il fait le ménage de nuit. Il jure n'y être pour rien. Il a d'ailleurs appelé la police avant de se raviser, persuadé qu'on allait l'accuser de meurtre. Cheng explique à la mère supérieure qu'il a en effet touché l'arme du crime, un extincteur plein de sang qu'il a ramassé dans la pénombre après s'y être cogné...
Soeur Thérèse continue sa mission de justice : trouver les coupables pour éviter aux innocents de finir derrière les barreaux.