Marie a été placardisée dans un autre ministère. A la surprise de tous, les preneurs d'otages exigent de reprendre les négociations avec elle.
Marie et son adjoint Harold sont relégués au ministère des Sports. Marie veut continuer à suivre l'affaire des otages, mais son successeur la méprise et le président l'ignore. Cependant, la valse des ministres suscite le mécontentement des terroristes qui demandent à traiter avec elle. Gresson, son remplaçant au ministère des Affaires étrangères, n'a pas d'autre choix que de faire appel à elle. Marie conclut la négociation et pense tenir sa revanche, avant de comprendre qu'on ne lui a pas tout dit. Elle monte alors à bord d'un avion en direction du Niger...