Longtemps professeur de latin et de grec puis snseignant au séminaire de Bastogne, Armel Job a toujours aimé l'écriture. Pourtant, il ne se met à la rédaction de romans qu'au début des années 90. Auteur d'une vingtaine de romans, il présente aujourd'hui son pette dernier, «La Disparue de l'île Monsin». Comme à son habitude, Armel Job situe son intrigue dans la campagne belge, un environnement qu'il chérit et connaît bien.
Longtemps professeur de latin et de grec puis snseignant au séminaire de Bastogne, Armel Job a toujours aimé l'écriture. Pourtant, il ne se met à la rédaction de romans qu'au début des années 90. Auteur d'une vingtaine de romans, il présente aujourd'hui son pette dernier, «La Disparue de l'île Monsin». Comme à son habitude, Armel Job situe son intrigue dans la campagne belge, un environnement qu'il chérit et connaît bien.
Longtemps professeur de latin et de grec puis snseignant au séminaire de Bastogne, Armel Job a toujours aimé l'écriture. Pourtant, il ne se met à la rédaction de romans qu'au début des années 90. Auteur d'une vingtaine de romans, il présente aujourd'hui son pette dernier, «La Disparue de l'île Monsin». Comme à son habitude, Armel Job situe son intrigue dans la campagne belge, un environnement qu'il chérit et connaît bien. Plusieurs fois récompensé, Armel Job l'assure : il n'a jamais mis de stratégie en place pour devenir un écrivain à la mode. Et c'est peut-être la clef de son succès. Au cours de cet entretien, il évoque évidemment son nouvel ouvrage, mais aussi ses souvenirs, sa ville natale et bien d'autres choses encore.