"Faut-il brûler le Louvre ?". La question fut posée aux artistes en 1919 par la revue d'avant-garde "L'Esprit nouveau", qui derrière la provocation, interrogeait en réalité le rapport des artistes au passé, à la tradition, aux grands maitres. Le passé est-il encombrant, voire paralysant, ou au contraire nourricier, donc inspirant ? Cette même question a été posée 100 ans plus tard aux street-artistes.
"Faut-il brûler le Louvre ?". La question fut posée aux artistes en 1919 par la revue d'avant-garde "L'Esprit nouveau", qui derrière la provocation, interrogeait en réalité le rapport des artistes au passé, à la tradition, aux grands maitres. Le passé est-il encombrant, voire paralysant, ou au contraire nourricier, donc inspirant ? Cette même question a été posée 100 ans plus tard aux street-artistes.