En juillet 1976, à Nice, une succursale de la Société Générale est dévalisée par les égouts. C'est Albert Spaggiari qui est à l'origine de tout. Le montant du butin est de 50 millions de francs. Spaggiari est arrêté mais s'échappe du palais de Justice. Il sera en cavale jusqu'à sa mort, en 1989.
En juillet 1976, à Nice, une succursale de la Société Générale est dévalisée par les égouts. C'est Albert Spaggiari qui est à l'origine de tout. Le montant du butin est de 50 millions de francs. Spaggiari est arrêté mais s'échappe du palais de Justice. Il sera en cavale jusqu'à sa mort, en 1989.
En juillet 1976, à Nice, une succursale de la Société Générale est dévalisée. Les malfaiterus sont passés par les égouts de la ville et ont passé tout un week-end dans la salle des coffres. C'est Albert Spaggiari qui est à l'origine de tout. Durant trois mois, il a fait creuser un tunnel par une équipe de truands marseillais. Le montant du butin est de 50 millions de francs, l'équivalent d'une trentaine de millions d'euros. Sur place, les policiers trouvent un message, inscrit à la craie sur un mur : «Ni armes, ni violence et sans haine». Arrêté quelques mois plus tard, Spaggiari avoue avoir tout commandité, mais ne dénonce pas ses complices. Il réussit cependant à s'échapper du palais de Justice de Nice et sera en cavale jusqu'à sa mort, en 1989.