De nouveaux militants dénoncent les injustices au moyen du rire. Si leurs canulars rencontrent le succès, ils rendent fous de rage multinationales, autocrates et dictateurs. Un an durant, Martin Boudot a suivi les performances de rue, vécu dans les coulisses des canulars médiatiques et partagé la résistance quotidienne.
De nouveaux militants dénoncent les injustices au moyen du rire. Si leurs canulars rencontrent le succès, ils rendent fous de rage multinationales, autocrates et dictateurs. Un an durant, Martin Boudot a suivi les performances de rue, vécu dans les coulisses des canulars médiatiques et partagé la résistance quotidienne.
De nouveaux militants dénoncent les injustices au moyen du rire, une arme qui se propage à l'infini sur Internet. Si leurs canulars rencontrent le succès, ils rendent fous de rage multinationales, autocrates et dictateurs. A travers la planète, les exemples sont légion : «clowns activistes» qui combattent les excès militaristes ou nationalistes en France, Yes Men qui aident Greenpeace à sauver les ours blancs de l'Arctique ou simples citoyens du Nord de la Syrie se déguisant en hommes préhistoriques pour dénoncer les crimes de Bachar el-Assad. Un an durant, Martin Boudot a suivi les performances de rue, vécu dans les coulisses des canulars médiatiques et partagé la résistance quotidienne.