En 1973, trois adolescentes sont assassinées, mais la police n'établit pas de lien entre les meurtres. Trente ans plus tard, l'enquête est rouverte.
En 1973, dans le sud du pays de Galles, deux adolescentes de 16 ans, Geraldine Hughes et Pauline Floyd, sont retrouvées étranglées dans un bois après avoir été violées. Sorties danser le samedi soir précédent à Swansea, les deux copines, l'une ouvrière et l'autre vendeuse, y ont été vues pour la dernière fois à l'arrière d'une Austin 1100 blanche, conduite par un homme. Trois mois plus tôt, dans une commune proche, Sandra Newton, 16 ans, a, elle aussi, été assassinée de la même façon. Mais malgré l'insistance d'un jeune enquêteur intuitif, Paul Bethell, la hiérarchie policière refuse de lier les trois meurtres. Trente ans après, en 2002, Paul Bethell, toujours hanté par cette enquête bâclée, obtient de rouvrir les recherches grâce aux nouvelles techniques d'identification fondées sur l'ADN...