Daniele Gatti dirige la «Symphonie n°5» de Mahler, l'une des oeuvres les plus célèbres du compositeur. Tourmentée et agitée, «stürmisch bewegt», cette symphonie, composée entre 1901 et 1902, est caractérisée par la tonalité évolutive qui annonce la deuxième école de Vienne. De l'ombre à la lumière, du «Trauermarsch» initial jusqu'au rondo jubilatoire final, l'oeuvre, teintée d'ironie, est considérée comme la plus échevelée du compositeur autrichien. Le quatrième des cinq mouvements, l'«adagietto», a été popularisé par le film «Mort à Venise» de Visconti.
Daniele Gatti dirige la «Symphonie n°5» de Mahler, l'une des oeuvres les plus célèbres du compositeur. Tourmentée et agitée, «stürmisch bewegt», cette symphonie, composée entre 1901 et 1902, est caractérisée par la tonalité évolutive qui annonce la deuxième école de Vienne. De l'ombre à la lumière, du «Trauermarsch» initial jusqu'au rondo jubilatoire final, l'oeuvre, teintée d'ironie, est considérée comme la plus échevelée du compositeur autrichien. Le quatrième des cinq mouvements, l'«adagietto», a été popularisé par le film «Mort à Venise» de Visconti.
L'Orchestre royal du Concertgebouw d'Amsterdam