En 2017 et 2018, en trois concerts à l'Opéra Bastille et à la Philharmonie, Philippe Jordan a parcouru l'intégrale des symphonies de Tchaïkovski. Il avait choisi de mettre chaque fois en regard les " jeunes " symphonies avec les trois grandes dernières, faisant dialoguer le rêve avec l'émotion et la souffrance. La captation, à l'Opéra Bastille, portait sur les deux symphonies suivantes : la Symphonie n°1 (en sol mineur "Rêves d'hiver", op.13, composée en 1866) et la Symphonie n°5 (en mi mineur, op.64, composée en 1888).
En 2017 et 2018, en trois concerts à l'Opéra Bastille et à la Philharmonie, Philippe Jordan a parcouru l'intégrale des symphonies de Tchaïkovski. Il avait choisi de mettre chaque fois en regard les " jeunes " symphonies avec les trois grandes dernières, faisant dialoguer le rêve avec l'émotion et la souffrance. La captation, à l'Opéra Bastille, portait sur les deux symphonies suivantes : la Symphonie n°1 (en sol mineur "Rêves d'hiver", op.13, composée en 1866) et la Symphonie n°5 (en mi mineur, op.64, composée en 1888).
L'Orchestre de l'Opéra national de Paris