Après la catastrophe de Tchernobyl, les archives secrètes déclassifiées du KGB attestent des manoeuvres des autorités pour cacher l'ampleur de la catastrophe.
Les archives secrètes déclassifiées du KGB attestent des manoeuvres des autorités soviétiques pour cacher l'ampleur de la catastrophe, au mépris de la santé des habitants. Les médecins ont pour ordre de taire que l'air est rempli de particules radioactives, tandis que les agents du KGB empêchent les journalistes de les interroger. Officiellement, le Kremlin admet un bilan de deux morts.