Un portrait bruyant et coloré, à l'image du réalisateur méditerranéen, saisi le sud de la France par Emmanuel Barnault.
Tony Gatlif, réalisateur gitan, né d'un père kabyle et d'une mère gitane, évoque l'essence de son cinéma : la place royale accordée à la musique, essentielle et thérapeutique, son désir de filmer autant la générosité que la colère humaine, l'omniprésence de la figure maternelle et le désir de bâtir un cinéma engagé.