Au début de l'année 2013, on apprenait le décès du premier djihadiste belge mort en Syrie, Sean, 23 ans. Face à ce scénario qu'ils n'avaient pas envisagé, ses parents, ainsi que d'autres mères de djihadistes, ont lancé un groupe de paroles pour que chacun puisse y déposer son histoire. «Tout ça» a suivi l'évolution de ce groupe, qui s'est structuré en ASBL.
Au début de l'année 2013, on apprenait le décès du premier djihadiste belge mort en Syrie, Sean, 23 ans. Face à ce scénario qu'ils n'avaient pas envisagé, ses parents, ainsi que d'autres mères de djihadistes, ont lancé un groupe de paroles pour que chacun puisse y déposer son histoire. «Tout ça» a suivi l'évolution de ce groupe, qui s'est structuré en ASBL.
Au début de l'année 2013, on apprenait le décès du premier djihadiste belge mort en Syrie, Sean, 23 ans. Face à ce scénario qu'ils n'avaient pas envisagé, ses parents, ainsi que d'autres mères de djihadistes, ont lancé un groupe de paroles pour que chacun puisse y déposer son histoire. «Tout ça» a suivi l'évolution de ce groupe, qui s'est structuré en ASBL - «Aux parents concernés» - et qui a vu le nombre de parents s'accroître au fur et à mesure des départs vers la Syrie. Ces parents sont belges, marocains, bouddhiste, catholique, converti, musulman. Parmi eux : la mère de Bilal, ce kamikaze de 20 ans qui s'est fait sauter au Stade de France le 13 novembre 2015. Son témoignage a été recueilli avant les attentats de Paris. Elle le croyait toujours en Syrie.