Au sommaire : Brain Hackers. Des hackers d'un nouveau genre. - Erik Bulatov. Un artiste de l'ex-URSS qui annonçait le «street art». - Nikita Diakur. Il fait la part belle aux accidents graphiques. - Babis Makridis. Le réalisateur cultive l'humour noir et le mauvais esprit. - Nikolay Oorzhak. Ce chaman est un maître du chant diphonique. - Tshushimamire. Le trio nippon est en live dans «Tracks».
Au sommaire : Brain Hackers. Des hackers d'un nouveau genre. - Erik Bulatov. Un artiste de l'ex-URSS qui annonçait le «street art». - Nikita Diakur. Il fait la part belle aux accidents graphiques. - Babis Makridis. Le réalisateur cultive l'humour noir et le mauvais esprit. - Nikolay Oorzhak. Ce chaman est un maître du chant diphonique. - Tshushimamire. Le trio nippon est en live dans «Tracks».
• Le but de ces hackers : interférer avec les ondes électriques du cerveau humain. : Brain Hackers
• Né en 1933 dans l'URSS de Staline, l'artiste Erik Bulatov a déconstruit le langage visuel de la propagande soviétique, annonçant le «street art». : Erik Bulatov
• Lassé par le perfectionnisme, Nikita Diakur fait la part belle aux accidents graphiques. : Nikita Diakur
• Il cultive l'humour noir et le mauvais esprit dans on dernier film, «Pity». : Babis Makridis
• Né dans une tribu nomade de Sibérie, le chaman Nikolay Oorzhak est l'un des maîtres du chant diphonique. : Nikolay Oorzhak
• Ce trio nippon iconique est en live dans «Tracks». : Tshushimamire