Le 4 avril 2017, à Pont-Sainte-Maxence, dans l'Oise, Bénédicte Belair, 55 ans, a été retrouvée morte à son domicile par son compagnon. Tout porte à croire qu'il s'agit d'une mort accidentelle consécutive à une chute, mais ses proches sont persuadés que la quinquagénaire a succombé aux coups de son conjoint.
Le 4 avril 2017, à Pont-Sainte-Maxence, dans l'Oise, Bénédicte Belair, 55 ans, a été retrouvée morte à son domicile par son compagnon, William Morel. Tout porte à croire qu'il s'agit d'une mort accidentelle consécutive à une chute, mais ses proches sont persuadés que la quinquagénaire a succombé aux coups de son conjoint. Après seulement quelques mois d'enquête, la justice conclut que Bénédicte est décédée accidentellement. A quatre reprises, la victime avait pourtant porté plainte contre William Morel. Sylvaine Grévin, la sœur de la victime, convaincue qu'il s'agit d'un féminicide, va tout faire pour prouver que l'enquête a été bâclée.