C'est une incroyable scène que découvrent les policiers de Caen, le 18 novembre 1998, en pénétrant dans le salon de la grande ferme de Gisèle Loquet. La retraitée de 67 ans gît dans son fauteuil, devant l'âtre de sa cheminée, intégralement calcinée. Un bien étrange incendie, car le feu n'a brûlé que Gisèle et son fauteuil, le reste de la pièce est intact.
C'est une incroyable scène que découvrent les policiers de Caen, le 18 novembre 1998, en pénétrant dans le salon de la grande ferme de Gisèle Loquet. La retraitée de 67 ans gît dans son fauteuil, devant l'âtre de sa cheminée, intégralement calcinée. Un bien étrange incendie, car le feu n'a brûlé que Gisèle et son fauteuil, le reste de la pièce est intact.
C'est une incroyable scène que découvrent les policiers de Caen, le 18 novembre 1998, en pénétrant dans le salon de la grande ferme de Gisèle Loquet. La retraitée de 67 ans gît dans son fauteuil, devant l'âtre de sa cheminée, intégralement calcinée. Un bien étrange incendie, car le feu n'a brûlé que Gisèle et son fauteuil, le reste de la pièce est intact. Gisèle qui vient de perdre Bernard, son époux, un mois plus tôt, s'est-elle immolée par le feu ? La maison semble avoir été fouillée et 40.000 francs ont disparu. Mais l'enquête n'aboutit pas. Jusqu'à ce que, rongée par le remords, Guislaine Loquet, la belle-fille de Gisèle, convoque les policiers au cimetière du village pour leur faire des aveux. Elle aurait frappé Gisèle car celle-ci la maltraitait dans son enfance. Mais elle jure ne aps l'avoir tuée.