Le 29 avril 2012, sur l’autoroute du Sud de la France, Philippe Perrier, un riche viticulteur, file au volant de sa luxueuse berline en direction de Marseille. A 4 heures du matin, la voiture s’arrête sur une aire d’autoroute. L’homme fait le plein d’essence. Il n’y prête pas attention mais des caméras de surveillance le filment. Rien de surprenant à première vue. Rien, si ce n’est que ces caméras vont permettre, quelques semaines plus tard, d’élucider un crime dans lequel l’homme est peut-être impliqué…Le lendemain matin à 8 heures, la PJ de Marseille découvre le corps d’un homme dans la garrigue de Carry-le-Rouet, à moitié carbonisé et roulé dans une bâche en plastique. Il a été exécuté d’une balle en pleine tête. Pour la police, c’est la signature d’un énième règlement de compte entre gangsters phocéens. Seulement, les enquêteurs vont vite réaliser qu’ils font fausse route. Car la victime n’a rien d’un malfrat marseillais. Il s’appelle Lionel Véronèse, il a 39 ans et habite à 300km
Le 29 avril 2012, sur l’autoroute du Sud de la France, Philippe Perrier, un riche viticulteur, file au volant de sa luxueuse berline en direction de Marseille. A 4 heures du matin, la voiture s’arrête sur une aire d’autoroute. L’homme fait le plein d’essence. Il n’y prête pas attention mais des caméras de surveillance le filment. Rien de surprenant à première vue. Rien, si ce n’est que ces caméras vont permettre, quelques semaines plus tard, d’élucider un crime dans lequel l’homme est peut-être impliqué…Le lendemain matin à 8 heures, la PJ de Marseille découvre le corps d’un homme dans la garrigue de Carry-le-Rouet, à moitié carbonisé et roulé dans une bâche en plastique. Il a été exécuté d’une balle en pleine tête. Pour la police, c’est la signature d’un énième règlement de compte entre gangsters phocéens. Seulement, les enquêteurs vont vite réaliser qu’ils font fausse route. Car la victime n’a rien d’un malfrat marseillais. Il s’appelle Lionel Véronèse, il a 39 ans et habite à 300km