Le 11 janvier 2002, les pompiers de Péronne, dans la Somme, reçoivent un appel d'une jeune femme qui vient d'être enlevée. Plusieurs voix d'hommes sont audibles, mais ses agresseurs lui arrachent le téléphone. Deux jours plus tard, le corps d'Elodie Kulik, 23 ans, est découvert calciné dans une décharge. A côté de son corps, les gendarmes découvrent un préservatif et un mégot. Grâce à ces preuves l'ADN de l'un des agresseurs est identifié, mais il est inconnu des services de police. En 2011, un rebondissement se produit. Pour la première fois, la justice utilise la recherche d'ADN par parentèle. L'ADN de Grégory Wiart correspond à celui retrouvé sur le préservatif. Malheureusement, il est décédé peu après le meurtre. Reste à démasquer ses complices. Quelques mois plus tard, Willy Bardon, un ami de Wiart, est arrêté et mis en examen.